MOTHERSEAL

Née à Swansea au Pays de Galles, Rhia Mothersele grandit dans le sud de la France dans une famille belgo-britannique. Dès son plus jeune âge, elle démontre une grande sensibilité créatrice; elle peint, écrit des histoires, se passionne pour les mythes et les légendes, joue de la guitare et chante, et passe ses journées à écouter des disques. Elle quitte le foyer familial à l'âge de 16 ans, pour s’installer seule à Avignon, où elle étudie quelques mois au conservatoire de théâtre ; mais c’est surtout là, ses premiers contacts avec la musique improvisée et la composition, qu’elle pratique avec de talentueux jeunes musiciens, passionnés par les Doors, Jimi Hendrix et les Beatles, pour n’en citer que quelques uns. C’est aussi à cette époque qu’elle commence le violon, de façon surprenante, avec une famille de musiciens virtuoses Roumains, qui lui font découvrir la musique des Balkans.

Elle s’installe à Paris en 2017 pour étudier le violon classique avec la très reconnue pédagogue Anne Marie Morin, et intègre la classe de Jazz de Nicolas Dary au conservatoire Nadia et Lili Boulanger, mais c’est surtout dans les clubs mythiques de la rue des Lombards qu’elle découvre le jazz, et qu’elle rencontre de nombreux musiciens avec qui elle se produit dans différents projets, tel que Thomas Julienne et son Tribute to Radiohead, compositeur du groupe Theorem Of Joy; Paddy Sherlock, songwriter irlandais; Clément Simon, pianiste virtuose avec qui elle joue autant le répertoire des standards de jazz, que du rock des années 70.

Elle étudie auprès de Lou Tavano, Matias Lévy et Ellinoa, artistes qu’elle admire et qui la poussent à développer ses talents créatifs; c’est lorsqu’elle intègre le Centre des Musiques Didier Lockwood en 2019, et qu’elle y rencontre Manu Domergue, que son projet de compositions commence à prendre forme.

Elle enregistre en 2020 6 titres auto-produits, qu’elle sort actuellement sur Bandcamp et Youtube.


Elle participe également à l’album ‘Symphonie pour la Vie’ aux cotes de Natalie Dessay, et à l’album ‘Imaginary soundtrack from the 60’s’ de Léonard Desarthe.

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