Louise Debaecker est tombée dans la musique quand elle était petite. Dès ses 4 ans, elle rencontre Jo le Cello (son violoncelle) qui devient rapidement son fidèle compagnon de voyage musical. Avec lui, elle découvre la musique classique au conservatoire où elle fait ses classes, puis l’improvisation et le jazz. Bercée par les disques de son père, de Led Zeppelin à Crosby Still and Nash en passant par les Beatles, et les chorals de Bach, Louise développe une curiosité et des goûts musicaux éclectiques.

Durant ces jeunes années de pérégrinations, Jo le Cello lui fait découvrir le chant et l’improvisation vocale. A la recherche de sa voix, ils connaissent une brève séparation mais Jo reste présent dans sa vie musicale. Même durant ses études littéraires et philosophiques, il reste auprès d’elle, phare musical dans ce monde qui l’entoure. Ils se retrouvent lors de son passage à la Sorbonne où tout en finissant des études de philosophie, Jo le Cello la guide à l’American School of Modern Music où elle étudie le chant (avec Lou Tavano et Michele Hendricks) et le violoncelle jazz (Clément Janinet), puis au CRD de Bobigny (avec Déborah Tanguy).

​Investie dans divers projets dont un solo, elle continue d’explorer la musique et sa diversité ; du chant classique (Chœur de Grenelle), à la folk en passant par le jazz et la musique a capela. Elle a un duo avec le pianiste et compositeur Florian Berret avec qui elle sort un EP en août 2022 (FLOU). Elle travaille aussi avec des danseurs, chorégraphes et scénographes comme Maryam Samaan ou Yara Al Hasbani pour qui elle compose. En 2022, elle sort son premier album solo Ovinho lors d’un concert de « release » aux Arènes de Montmartre. 

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