Leo Jassef commence le piano à l'âge de quatre ans. Très rapidement, il se dirige vers le Jazz et entre au Collège de Marciac. 
Apres des études de piano classique, composition contemporaine, composition électroacoustique, écriture et direction, il intègre les classes de Jazz et d'Improvisation générative du CNSM de Paris. Parallèlement, il crée le Trio a Lunettes dans lequel il mêle l'improvisation libre à ses compositions, et fait parti des musiciens satellites du Tricollectif (travaille régulièrement avec le violoniste Theo Ceccaldi).  

Il se tourne ensuite vers les Musiques Actuelles (création du groupe Bobun Fever, Yom & the Wonder Rabbis, cabaret Madame Arthur). 
Dernièrement, il collabore avec le clarinettiste Yom sur plusieurs projets, comme son album « Celebration » enregistre en duo, le projet pluridisciplinaire « Baby Doll » (avec la metteur-en-scène Marie-Eve Signeyrole et l'Orchestre de chambre de Paris) et la création du spectacle « Inner » avec la danseuse-chorégraphe Johanna Faye. Il intègre également le groupe du saxophoniste Julien Lourau pour son dernier album « Power of Soul ».  

Jules Jassef commence la trompette à l'âge de 6 ans, après deux ans de guitare. Il débute le jazz au Collège de Marciac, dans le Gers. 
Apres le passage parmi divers conservatoires du sud-ouest ou il étudie la trompette classique, le jazz, la direction de chœur et la danse, il intègre les classes de Jazz et d'Improvisation générative du CNSM de Paris ainsi que le Jazz Art Department de la Manhattan School of Music a New York. 

Il étudie la trompette avec notamment Médéric Collignon et Ingrid Jensen ainsi que la composition avec Francois Theberge ou Jim McNeely. 
Jules Jassef a eu depuis ses débuts l’occasion de jouer en Europe et dans le monde, comme au festival Jazz in Marciac, en Guinée Conakry, au Palais Montcalm à Montréal (CA), au Dizzy’s Club Coca Cola (NYC), au club Alexander Platz à Rome, parmi des groupes tels que le Umlaut Big Band, le Quintet de Riccardo Del Fra, ou le Dedicaion Big Band.  

Apres trois ans d’absence, c’est la joie de retrouver ses amis musiciens et l’amour de jouer ensemble qui lui ont valu son retour à Paris.