Un soir dans un club de Jazz New-Yorkais…Lorraine, chanteuse, qui revisite les plus grands titres de Nat King Cole, auditionne des pianistes. Jacques, français, littéralement amoureux de « chanson française », fraîchement débarqué sur le sol américain, trouvera les faveurs et ravira cette dernière, pour qui la musique et plus particulièrement le jazz, se fredonne exclusivement en anglais. C’est un travail particulièrement drôle et original associant une musique à la fois entraînante et swing à la naissance d’une histoire d’amour entre le pianiste et la sublime Lorraine. Ne pouvant se résoudre à un répertoire exclusivement anglais, ce dernier, réussira avec tellement de délicatesses à imposer quelques merveilleuses reprises aux arrangements « jazzy », notamment un duo très émouvant de « Que reste-t-il de nos amours » interprété par Charles Trenet puis repris par Nat King Cole. Nous ne pouvons que saluer la qualité de ce quartet, composé d’un batteur, Didier Vallet, d’un pianiste/chanteur, interprété par Charles Trois, ainsi qu’un contrebassiste en la personne de Pierre-François Maurin, ayant tous fait leurs armes dans les plus prestigieuses écoles et conservatoires et auprès des plus grands noms du Jazz. Sans oublier la jeune chanteuse Flore Benguigui, âgée de 23 ans seulement, à la voix, originale et suave, s’harmonisant à merveille, non seulement avec les morceaux jazzy de Nat King Cole, mais également avec une sublime reprise de « Ces petits riens » de notre grand Serge Gainsbourg… Joué à guichet fermé depuis 3 ans déjà au Off d’Avignon, leur succès est aujourd’hui exporté hors des remparts, puisqu’ils sillonnent non seulement la France avec des représentations entre autres, dans notre chère capitale, mais aussi aux États-Unis. On ne peut que comprendre cet engouement ! C’est un pur moment de bonheur, on se laisse emporter par une musicalité parfaite. Chacun battant le tempo, toutes générations confondues, venant de tous horizons, appréciant le jazz, ou pas, nous ne pouvons que nous laisser envoûter. Plaisir garanti.

(Émilie Touat)

Un extrait de L.O.V.E au Festival d'Avignon ici

C’est un travail particulièrement drôle et original associant une musique à la fois entraînante et swing à la naissance d’une histoire d’amour entre le pianiste et la sublime Lorraine. Ne pouvant se résoudre à un répertoire exclusivement anglais, ce dernier, réussira avec tellement de délicatesses à imposer quelques merveilleuses reprises aux arrangements « jazzy », notamment un duo très émouvant de « Que reste-t-il de nos amours » interprété par Charles Trenet puis repris par Nat King Cole.

Nous ne pouvons que saluer la qualité de ce quartet, composé d’un batteur, Didier Vallet, d’un pianiste/chanteur, interprété par Charles Trois, ainsi qu’un contrebassiste en la personne de Pierre-François Maurin, ayant tous fait leurs armes dans les plus prestigieuses écoles et conservatoires et auprès des plus grands noms du Jazz. Sans oublier la jeune chanteuse Flore Benguigui, âgée de 23 ans seulement, à la voix, originale et suave, s’harmonisant à merveille, non seulement avec les morceaux jazzy de Nat King Cole, mais également avec une sublime reprise de « Ces petits riens » de notre grand Serge Gainsbourg…

Joué à guichet fermé depuis 3 ans déjà au Off d’Avignon, leur succès est aujourd’hui exporté hors des remparts, puisqu’ils sillonnent non seulement la France avec des représentations entre autres, dans notre chère capitale, mais aussi aux États-Unis. On ne peut que comprendre cet engouement ! C’est un pur moment de bonheur, on se laisse emporter par une musicalité parfaite. Chacun battant le tempo, toutes générations confondues, venant de tous horizons, appréciant le jazz, ou pas, nous ne pouvons que nous laisser envoûter.

Plaisir garanti.

Au Baiser Salé :

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